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Club Vélo Loisirs Verneuil L’Etang
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- Club cyclotouriste, nous pratiquons le vélo de route, Vtt et Tandem et nous avons une école cyclo
- Nous sommes affiliés à la FFCT, nous pratiquons uniquement pour le loisir!
- Vous êtes novice ou expérimenté, vous souhaitez faire un essai.
- Venez nous rejoindre!
- Président & Responsable Ecole Cyclo
- PERNELLE Bruno
- 06 28 30 89 02
- Vice Président Vtt
- BACHELET Philippe
- 07 83 52 40 03
Bonne année 2020 à tous et surtout une bonne santé avec plein de sortie vélo.
bonsoir la vélo-cité.
sortie club n-s1d-coubert.
chacune des sorties
est une étroite, réussite
qui issue par un geste
ordinaire: saisir son vélo.
l’entrain se met alors
en avance. plus nul
ne peut fixer cette
émulation qui, a peine
perceptible au départ,
mène peu à peu à l’ébriété.
nous serons au départ
d’un corps en ses lisières
que le mental méprise.
parcourant, pas une lutte
n’est plus stoique que
celui auprès de soi-même.
roulant, un attrait à émouvoir
qui cime a l’horizon ou
d’un relevé qui s’affole
destiné à constater toute la
vigueur du, mental exceller,
comme le verre de l’affection
cette remise de l’élégance
qui enclore.
Pour cette sortie club de ce matin nous étions 7 au rond point à prendre le départ. Le temps n’était pas génial car le vent faisait mal par moment avec cette petite pluie fine qui nous balayait le visage. Heureusement que le parcours était cerné de forêt, ce qui a permis de s’économiser un peu. Nous sommes restés ensemble et cela a permis de faire une sortie sympa. Merci à Flavien, Jeanjean, Quentin, Jean Michel, Philippe V et Philippe B pour cette belle sortie.
Bonne fête de Noël à tous.
bonsoir.
sortie club s2c-echouboulains
répondant toute ensemble
à un signal perceptible
comme les arbres retirent
leurs feuilles et entrent
à retenir leurs souffles
pour éviter le gel, comme
des haches de pierre
entament l’écorce d’un
arbre, la morsure est nette.
dans le ciel se déploient
les volutes aériennes d’une
myriade de grues cendrées,
des appels gutturaux retentissent
dans les airs loin au-dessous
tendues, dressées sur de longues
perches la canopée résonne
l’appel des forêts d’automne
qui s’étale, elles survolent
un tapis forestier déclinant
toute les teintes du rouille,
du jaune et du brun leur ailes
puissantes battent en cadence,
elles cessent parfois de battre
des ailes pour profiter de l’air
ascensionnel et mouvante.
nous serons au départ,
le frêne notamment, donne
un feuillage nourrissant dont
on fait des fagots pour l’hiver.
Nous avons appris le décès de Roger Lejeune 97 ans.
Pour les plus de 50 ans nous avons tous plus ou moins commencé petit sur un vélo Lejeune.
Les vélos Lejeune était une marque très connu dans les années 70 car elle équipait des équipes du Tour de France.
Victoire de Janssens en 68 et plus tard au Championnat du monde.
Samedi soir, nous étions 5 valeureux Vététistes à braver le froid à la première nocturne Bondoufloise. Contrairement à celle ce Limeil- Brevannes, nous étions parfait dans le timing, et nous n’avons eu quasiment aucuns problèmes de lampe. La première partie du parcours était la plus agréable car avec quelques singles et des sentiers majoritairement à couvert, donc protégés du vent. Deux grosses bosses sur un parcours de santé nous ont fait plus que nous échauffer.
La deuxième partie du parcours, après le ravito, était nettement moins agréable. Beaucoup de morne pleine en plein vent modéré mais froid.
Nous n’avons pas eu froid pour autant, mais le vent de face est d’autant plus minant que l’on est fatigué. Heureusement que la pluie n’était pas de la partie ! Nous avons mis un peu moins de 3 heures, arrêts compris pour effectuer les 37 km, avec un D+ de 110 m, donc un tracé plutôt plat qui explique une moyenne assez élevée avec 14 km/h.
Au départ c’était plutôt Tony et Nicolas qui étaient à la peine, mais sur la fin, c’est moi qui était loin derrière, les cuisses en béton sûrement à cause d’une course à pied le week-end précédent qui m’a engendré des courbatures presque toute la semaine. Jean-Michel et Clément auraient pu aller beaucoup plus vite sans les 3 autres moins entrainés. Mais le groupe est resté jusqu’au bout, on a même intégré pendant quelques km un gars en galère de lumière et de gouache !
A l’arrivée, plusieurs jets d’eau nous attendaient pour nettoyer nos vélos. Heureusement qu’il n’y avait pas d’attente parce-que le froid nous atteint vite sans activité. Le lavage terminé, nous avons pu nous réchauffer avec une soupe à l’oignon accompagnée de pain, fromage, flan et boisson.
Avant de nous en retourner chez nous, Loulou nous a remit la coupe du club le plus éloigné. C’est Tony qui la garde. C’est sa première avec le club.
Voilà pour cette dernière rando de l’année.
bonsoir.
Bondoufle qui a accueilli
le tour de France en deux mille
quatorze.
les noctambules de la
bondoufloise:
tony, clément, nico, philippe et moi.
de notre tanières
nous étions au départ
comme des loups maîtres
d’un territoire, comme
une soirée d’émerveillement
aux valeurs fortes, le
hurlement d’une nature
sous le clair-obscur.
parcourant, remué au
plus profond de nous
comme une tempête,
un sillage à la surface
d’une dimension.
roulant, arpentions aussi
organisé qu’une bande
de loups, nous nous
lancions comme une
meute a l’assaut d’une
bondoufloise. emportent
avec nous finis les
désaltérants et rafraichissants
on veut du réconfortant,
cette sonorité touchant
notre instinct.
bonsoir.
sortie club e1 cinv- grotte Notre-Dame.
minuscule nous somme,
fragment de matière mouvante
dans cet infini cosmos berceau
de notre vie et, peut-être lieu
de promenade quand notre
corps ne sera plus, d’un ciel ce
mât bien intranquille , perchée
sous un toit moi-même à travers
le contrevent la lueur étincelante
du petit jour éclaire mon alcôve,
c’est ainsi que je quitte mon alvéole
conforté dans l’idée de retrouver
un festival tout ouie, les empreintes
et les vestiges d’un riche passé,
composer comme pour une voie
verte nous serons au départ, pour
gravir et se mettre en orbite dans
un univers en constante, expansion
comprenant soixante sept kilomètre.
parcourant, comme une balade le long
d’un fleuve majestueux comme ce
qui pourrait refléter une faune locale
mais aussi la nature de ses parcourt,
dans un mélange, empreint de douceur
et de beauté, savourent l’instant d’un
mât nous offrent l’azur de ses flots.
roulant, quand le sol se dérobe
sous nos pas, nous prenons appui
sur l’espace, dans son écrin un monde
féerique où nos yeux seront constamment
sollicités par un spectacle, comme un
pays, cité de l’écrit et des métiers du
livre possédant un musée de la machine
a écrire, se perdant dans l’infini des
reliefs qui nous encerclent.